Until death
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Et si ils étaient banis de la Terre , qu'ils se retrouvaient completement demunis ?
 
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 « Sauvetage ou cambriolage? » [PV Tony]

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Wanda Walter

Wanda Walter


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« Je suis une femme, alors j'ai l'habitude de faire des choses que je n'ai pas envie de faire. »


You : « Sauvetage ou cambriolage? » [PV Tony] Amanda2i
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MessageSujet: « Sauvetage ou cambriolage? » [PV Tony]   « Sauvetage ou cambriolage? » [PV Tony] Icon_minitimeDim 1 Sep - 20:18


Sauvetage ou cambriolage?


Certaines personnes m'admirent. Ils souhaiteraient devenir comme je suis, ou du moins comme j'étais. Ils aimaient Catwoman, qui n'était qu'un costume pour commettre ces crimes sans que je puisse me faire repérer et que je vive ma petite vie de fleuriste bien tranquille. Ce n'était qu'au départ un masque derrière lequel je me cachais pour que personne ne se doute de que la Catwoman de Gotham City, c'était moi. Ma vie n'a jamais été juste, j'ai commis des fautes, des erreurs, je ne suis pas une bonne personne, alors je me suis toujours demandée pourquoi toutes ces personnes m'aiment autant, ou du moins cette femme que je suis lorsque je sors mon masque de chat. Parce-que oui, ma vie n'est pas rose et elle ne l'a jamais été. Si ces personnes savaient réellement qui j'étais et tout ce que j'avais enduré, peut-être que ça leur donnerait le goût de m'enlever de la liste des super héros ?

Sortant de mes pensées, je venais de me rendre compte que j'avais dépasser l'endroit où j'allais dormir cette nuit d'au moins un mètre. Je me tournais donc vers la grand bâtisse, puis après quelques secondes, je m'étais enfin décidée à y entrer. Derrière moi roulait  les seules affaires que je trimbalais partout et que je ne quittais pratiquement jamais. Je continuais ma marche jusqu'à ce qu'un homme vienne m'ouvrir de lui-même la porte. J'ai esquissé un joli sourire, ce sourire charmeur et pourtant si faux, puis inclinant brièvement la tête en avant, j'ai murmuré « Merci beaucoup, voilà qui est bien aimable de la part d'un gentleman. » Pourtant, sans lui adresser le moindre regard, je suis entrée après n'avoir simplement prononcé ces mots.

Après être donc entrée, j'ai observé les alentours. Les peu de personnes qui se trouvaient aussi ici faisaient la queue à l'accueil pour réserver des chambres. D'autres attendaient, assis sur les bancs, ou en voyageant dans toute la grande pièce qu'étais ce hall. Espérant qu'il y aurait encore de la place, je me suis donc avancée juste derrière le dernier homme de cette file d'attente. Je n'avais aucun sous sur moi, mais j'ai eu cependant de la chance de lui piquer son porte-feuille sans qu'il ne me remarque. Au bout d'un certain temps, ça allait être au tour de cet homme, mais lorsqu'il voulut prendre de quoi payer, il dû se mettre plus loin pour fouiller. Ce fut donc à mon tour, et j'ai payé avec l'argent qui se trouvait dans ce porte-feuille, puis m'emparant de la clé que la femme me tendait, je me suis dirigée vers l’ascenseur en remettant discrètement le porte-feuille dans la poche de cet aimable homme. De toute façon, il aurait assez pour se payer une chambre aussi.

J'ai pris l’ascenseur pour arriver dans un des derniers étages de l'hôtel, puis j'ai pas vraiment cherché ma chambre très longtemps, je n'avais qu'à suivre les numéros marqués sur les portes qui se succédaient petit à petit. Insérant la clé dans la serrure et après l'avoir tourné, je me suis arrêtée après avoir refermé derrière moi, et j'ai contempler la grande et somptueuse pièce qui s'offrait à moi. C'était grand, très grand même. C'était une chambre de luxe, et j'avoue que j'avais été fière de mon coup cette fois-ci... Enfin, j'étais tout le temps fière de mes coups de toute façon. J'ai posé mes affaires dans un coin, puis j'ai enlevé manteau et chaussures pour ensuite me jeter dans ce grand lit à deux places. Enfin allongée dessus, je m'étalais de tout mon long, mais je me redressais vite. Je venais d'avoir une sorte de vision, un lointain souvenir. C'était flou, c'était vague. Je décidais de ne pas y prêter attention et d'aller fouiner dans cet hôtel. Qui sait, peut-être que je trouverais de quoi me divertir ?

Après avoir usé de l'eau de cette douche, je me suis habillée disons.. Ouvertement ? En effet, je n'étais pas une de ces filles coincées, non j'aimais mon corps, oui j'en étais fière et je n'hésitais pas à le montrer, mais pas au point de paraître trop dévoilée, trop provocante ou trop vulgaire. Disons juste.. Juste pour faire craquer certains hommes plus naïfs les uns que les autres, histoire qu'après, je puisse faire ce que je souhaite. Je suis ressortie au moins une bonne demi-heure après être arrivée ici, puis j'ai commencer à gambader dans les couloirs. Je n'étais pas seule, certaines autres personnes m'imitaient, ils se promenaient eux aussi. Je me suis arrêtée lorsque j'ai vu un homme, celui qui avait le plus attiré mon attention, discuter avec un autre. Vous savez que j'enviais les personnes riches, et il se trouvait que celui qui avait attiré mon attention en était un. Cela se voyait parfaitement bien. Costume blanc très chic, montre en or, très bien coiffé, tout ce qui me plaisait et les personnes riches ont toujours sur eux des choses qu'ils n'utilisent jamais, auquel ils ne tiennent absolument pas, mais qui doivent être absolument à eux et ils ne supporteraient pas de perdre ne serait-ce qu'un petit quelque chose de leur bien.

En un sourire, j'ai laissé cet homme me dépasser, et j'ai vu un petit quelque chose dans une des poches arrières de son magnifique pantalon blanc qui m'a fortement marquée. Je le suivais donc, silencieuse malgré mes talons hauts, puis j'ai avancé ma main, et j'ai sortis ce qui m'intéressais de sa poche. Il n'a rien sentit, ouf heureusement, mais à peine allais-je me retourner que j'entendis crier. « Eh, vous là ! Je vous ai vu, rendez immédiatement ce que vous avez volé à Monsieur ! » L'homme riche s'est retourné, mais je n'ai pas attendu très longtemps. Je courrais déjà dans les couloirs, poursuivie par le riche et celui qui m'avait vu faire. Je courrais à en perdre haleine. Ces talons me faisaient un mal de chien, courir avec n'étais pas un très bonne idée en effet. Je regardais derrière moi, ils étaient toujours là, et je n'arrivais pas à les semer. Mais lorsque j'ai voulus retourner ma tête pour regarder devant moi, je me suis comme.. Pris un mur. Sauf que c'était un homme. Plus jeune que ceux qui m'avaient poursuivie, mais quand même plus vieux que moi. Étalée donc par terre, j'ai levé le regard vers ces deux hommes qui se précipitais brutalement en ma direction, puis tournais un regard apeuré bien que je ne l'étais guère vers cet homme que j'avais bousculé, que j'avais malgré moi mis à terre, mais qui s'était déjà relevé.
(c) A&Fitch
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Anthony E. Stark

Anthony E. Stark


Citation : « je suis un génie, milliardaire, playboy et philanthrope, bien sûr. »
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MessageSujet: Re: « Sauvetage ou cambriolage? » [PV Tony]   « Sauvetage ou cambriolage? » [PV Tony] Icon_minitimeLun 2 Sep - 13:36

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Sauvetage ou cambriolage ?
♦ ft Wanda.

Tony a souvent été connu entant qu'Iron Man. Entant que sauveur. Mais, en regardant le monde évolué ; c'est-à-dire catastrophe ; ça ne donne pas vraiment envie de sauver la Terre. Dans ce monde, il y a toujours des fous furieux, qu'il faut parfois calmer, voir tuer. La définition du mot sauveur n'est pas écraser les autres.. Alors, pourquoi tant de gens le prennent pour un héros ? Après tout, il tue des gens. Mais pour en sauver d'autre. Ces gens, malfaiteurs.. D'ailleurs, pourquoi ? Pourquoi ils cherchent des ennuis, ces malfaiteurs ? Pourquoi pas vivre leur vie autre part, en Espagne, au Canada, loin de Tony ? Pourquoi pas le laisser vivre sa vie tranquillement entant que personne normale ? Pour qu'il ait du temps à consacrer à Pepper ? Pour qu'un beau jour ils puissent fonder une famille ? Pourquoi ces tarés s'obstinent contre lui ?

Bon. Cesse de questions. C'est pas ça qui va avancer son cas. Pour le moment, il était dans un sale pétrin. Il n'avait pas réussit à trouver un logement pour y passer la nuit. Bien qu'il soit bourré d'argent. Soudain, ce sale pétrin se transforma en illumination. Mais oui ! Un hôtel ! Même si certains coûte la peau des fesses..
Tony sortit son porte-feuille, puis regarda ce qui lui restait comme sous. Pile ce qu'il fallait pour un hôtel. LUI, Anthony Edward Stark, qui n'avait que solution, l'eût trouvée dans un simple porte-feuille. Il sourit, puis rit silencieusement. Il rangea la seule chose qui lui permit de ne pas dormir dans la rue dans sa précieuse poche de son précieux pantalon. Avoues que ce serait bête que tu le perdes.. souffla une petite voix dans sa tête. Il l'ignora, puis marcha tranquillement vers le premier hôtel trouvé. Il était comme il fallait : pas trop luxueux, mais un peu, comme ça plaisait à Tony. Oui, parce que, malgré que nôtre milliardaire frime souvent, au fond, ça pouvait être quelqu'un de bien. Mettant ses lunettes sur le bout de son nez, monsieur Stark s'aventura dans l'hôtel.
Une jeune demoiselle l'accueilli chaleureusement. Tony retint un rire. Elle lui faisait penser à Natalie Rushman, pas très grande, rousse, les lèvres d'un rose clair.. Sauf qu'elle ne devait pas être quelqu'un qui pratique les arts martiaux et qui met à terre les "super-méchants".
Après avoir payé juste ce qu'il fallait pour une chambre, Tony s'installa tranquillement dans l'ascenseur. Il haussa un sourcil, regardant les autres personnes étant de le même moyen de transport que lui. Il fixa en principe une jolie demoiselle grande, rousse (il y a beaucoup de rousses, ici, ma parole, ria intérieurement Tony), elle avait de grands yeux verts, qui lui fit pensé à Pepper. Il la regarda, souriant, jusqu'à ce que l'ascenseur s'arrêta et le tira des ses rêveries.

Arrivé à sa destination, il ferma la porte de sa chambre, pour poser ses affaires dans la pièce où il se trouvait. Tony enfila un joli costard noir, pantalon noir, baskets noires, histoire d'être plus présentable face aux autres. Il mit ses lunettes dans une petite poche de sa veste, puis un petit nœud de papillon (également noir). Il sourit, puis sortit de sa chambre, pour se balader dans les couloirs. Il n'était pas le seul à avoir cette idée ; même que beaucoup l'eut. Son regard s'arrêta sur deux hommes qui paraissaient tout aussi riche de lui. Plus, on dirait. L'un, qui était sûrement le plus jeune des deux, était habillé en costume blanc, avec des bijoux en or. Il faut en avoir, du courage, pour pas se faire piqué de telles choses ici.. pensa Tony en arquant un sourcil. Il haussa les épaules. Après tout, ce n'est pas ses affaires, il fait bien ce qu'il veut. L'autre homme était exactement pareil que le précédent. Habillé pareil. Peut-être des frères, qui sait. Une autre personne attira son attention. Une jeune femme qui devait être plus jeune que ces deux imbéciles et que lui. Elle était blonde. Peu grande si elle enlevait ses talons hauts. Tony haussa une nouvelle fois les épaules. Çà aussi, ça n'était pas son problème, si elle se cassait la figure.

Il se tourna même pas dix petites secondes que cette jeune femme vint à le bousculer. Il tomba à terre, mais ayant l'habitude avec les psychopathes qu'il traquait, il se releva assez rapidement. La jeune femme aussi, était étalée par terre. Elle avait également les deux personnes riche à ses trousses. Elle tenait dans sa main un bijou qui valait sûrement beaucoup d'argent, qu'il avait apperçut il n'y a pas si longtemps, sur la personne riche. En gros.. La jeune blonde avait piqué ce bijou en un temps remarquable ? Comme si elle n'avait fait que ça de sa vie ? Tony sourit. Sa soirée allait être pimentée, avec deux imbéciles et cette femme. Il croisa le regard apeuré de la blonde. Allez, même si elle a l'air d'une personne pas si bien, il préféra sauver une bombe ultra sexy que deux pauvres petits vieux ultra riches. Tony lui tendit la main. Mais voyant que les deux hommes se rapprochaient, il s'en fichait bien de savoir si elle voulait sa main pour l'aider à se relever. Lui-même prit le poignet de la jeune femme, puis courut jusqu'à sa chambre. Mais les deux personnes qui poursuivaient la blonde lui bloquèrent le passage. Tony lâcha le poignet de la jeune femme, puis leva les bras, et dit d'un ton théâtral :
« Bon ! Moi, j'étais là, tranquille, puis elle m'a bousculé, sans raison. Messieurs, que se passe t-il ? »

Tony voyait bien que les deux hommes se tuaient de lui expliquer que la jeune femme leur avait piqué un bijou. Pendant qu'ils en étaient à s'expliquer, monsieur Stark reprit le poignet de la jeune femme, puis contourna les deux hommes, pour s'enfermer dans la chambre d'hôtel.
« Et voilà, le tour est joué.. » murmura t-il, tout en fermant bien à clé la porte. Il souffla un bon coup, puis se tourna vers la blonde.
« Bon. Je vous ai sauvé de ces deux imbéciles. Mais j'aimerai bien savoir pourquoi vous avez volé ce bijou qui était dans la poche de cette personne. »
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